Dans les Yvelines, sur la commune du Vésinet, le quartier du parc Princesse s’étend sur 18,3 hectares. Ce parc constituait jusqu’alors l’un des derniers espaces vacants à aménager dans la ville. Sa situation géographique privilégiée, son passé chargé d’histoire et son identité particulière en font un site exceptionnel, un terrain propice à la création d’un écoquartier d’une qualité urbaine exemplaire.
Un projet construit autour de l’existant, du vivant, des habitants
Dans ce contexte, la Ville du Vésinet, l’aménageur Grand Paris Aménagement et le groupement de maîtrise d’œuvre mandaté par l’agence TER, se sont engagés ensemble dans la création d’un quartier confortable, un projet qualitatif guidé par une politique de développement durable, qui répond à de hauts objectifs de certification tout en limitant l’impact des constructions sur l’environnement alentour. Pour atteindre ces objectifs, une démarche spécifique a été mise en place, qui intègre des concertations publiques et la rédaction d’une Charte de Développement durable.
Un quartier héritier de l’urbanisme paysager
La forêt du Vésinet, initialement confiée aux moines de l’abbaye de Fontenelle au VIIIe siècle avant de devenir un terrain de chasse royal sous Henri IV à partir de 1595, s’étendait alors sur près de 80 hectares. Au XIXe siècle, son destin a été transformé lorsqu’elle a été traversée par la ligne de chemin de fer Paris-St-Lazare à St-Germain-en-Laye, devenant ainsi le berceau de la ville-parc du Vésinet.
En 1853, sous la supervision éclairée de l’industriel Alphonse Pallu, du comte Charles de Morny, homme politique et ancien ministre de l’Intérieur, et du comte Paul de Lavenne de Choulot, éminent paysagiste de l’époque, la forêt millénaire a été métamorphosée en un parc résidentiel novateur. Entre 1858 et 1863, un cahier des charges précis a été élaboré pour guider chaque acheteur dans le respect des normes visant à préserver ses arbres et ses essences. Conçu comme une œuvre urbaine pittoresque, le parc du Vésinet a conservé, 150 ans plus tard, la trame viaire imaginée par le comte de Choulot. Son patrimoine historique se compose désormais de trois éléments majeurs : un espace public distinctif, une architecture remarquable et un parc arboré vivant. Le parc Princesse, partie intégrante du Vésinet, incarne à lui seul un véritable fragment urbain, où il est désormais nécessaire de restaurer certaines liaisons pour favoriser une interaction fluide entre ses différents espaces.
Aujourd’hui, l’histoire se poursuit alors que de nouveaux acteurs urbains ont choisi de mandater des paysagistes urbanistes pour façonner l’avenir du patrimoine restant, et notamment pour raviver le parc Princesse. Dans ce nouveau projet élaboré par l’Agence TER, plusieurs éléments fondateurs du parc Princesse, remontant au XIXe siècle, sont réaffirmés, tels que les tracés viaires, les corridors verts et les points d’eau, convergents autour d’un édifice central emblématique, l’asile impérial.
Construit dans le contexte émergent des théories hygiénistes, des découvertes de Pasteur et de l’adoption de pratiques liées à la propreté dans l’urbanisme, l’asile impérial prit place au cœur du parc entre 1856 et 1869, selon les plans de l’architecte Eugène Laval, sur décret impérial du 8 mars 1855. Destiné à accueillir les ouvriers blessés sur les chantiers publics ainsi que les convalescents du département de la Seine, dans le dessein de leur procurer quelques jours de rétablissement à l’écart de la ville et de sa pollution, il fut érigé sur la commune de Croissy, au sud-ouest du Vésinet, sur un terrain de 30 hectares, où furent également édifiés des écuries ainsi qu’un cimetière. Reconnu pour ses remarquables qualités historiques et architecturales, il fut inscrit au titre des monuments historiques en 1997.
En 1857, Eugène Laval érigea symétriquement les corps du bâtiment de l’Asile Impérial par rapport à l’avenue, conférant ainsi une forte cohérence à l’ensemble architectural. De composition classique, le plan-masse de l’asile et de ses abords s’inscrivait dans le prolongement de l’axe de l’avenue de la Princesse, elle-même héritée du tracé du terrain de chasse instauré dans la forêt durant la Renaissance. Le nom de cette avenue évoquait la mémoire de la princesse douairière de Conti, qui avait uni son destin à celui du prince de Conti en 1713.
Attention portée au bâti historique
Dans l’élaboration du projet de l’écoquartier, une attention toute particulière a été portée au bâti historique du site. L’hôpital et sa chapelle, les pavillons d’entrée et l’axe de l’avenue Princesse, ainsi que le mur d’enceinte, le cimetière et son pavillon d’entrée, ont été considérés comme des éléments consubstantiels au monument historique.
Alors que les contours historiques du parc avaient été préservés, d’autres limites internes, établies au fil du temps, constituaient autant d’obstacles à la perception du parc en tant qu’entité harmonieuse. Les paysagistes ont souhaité ménager des transitions douces entre le site et son environnement immédiat.
En tant qu’unique accroche avec la ville, l’enceinte de l’hôpital a été ouverte et dégagée. Au nord, l’Agence TER a créé une esplanade, conçue comme un filtre entre la ville et l’hôpital, mais aussi comme lieu de connexion intergénérationnelle permettant de préserver les relations piétonnes entre les habitations alentour, le cimetière, l’école et les crèches, la résidence senior et l’avenue Princesse. Pour préserver un espace calme autour de l’hôpital, et tel un rappel historique aux fossés ou aux douves, des sauts de loup séparent l’esplanade de l’enceinte, renforcés par la présence discrète de différents types de clôtures, lesquels se fondent dans la végétation et permettent de conserver une continuité visuelle.
Réciproquement, depuis l’hôpital, en particulier depuis le premier étage au cœur de l’édifice, la perspective a été dégagée afin de privilégier la contemplation des arbres et du parc par les usagers. La composition de l’axe sud avait été amputée de vues lointaines, réinstaurées dans le dessin des nouveaux tracés du parc, qui retrouve ses historiques obliques vers les coteaux de Bougival et de Marly. Aux abords directs du monument, la pelouse, insérée dans l’axe de prolongement de l’avenue princesse, a également été rétablie.
Le parc a été redessiné à l’image d’une promenade, un parcours ponctué d’évènements, une treille, un lac et un ponton, imaginés comme les acteurs d’une mise en scène qui met en lumière le monument. Afin de minimiser l’impact visuel des limites instaurées, la répartition et la densité de la végétation, imaginée comme un filtre naturel, ont été nuancées selon la distance d’observations et la volonté de montrer ou de cacher telle ou telle partie du bâti.
Promenade le long des cheminements redessinés
À l’échelle de la boucle de la Seine, les flux quotidiens autour de ce quartier du Vésinet découlent du maillage des infrastructures, de la proximité du RER A, qui relie la ville à la capitale, et des quelques ponts franchissant le fleuve. Dans ce contexte, l’agencement du parc Princesse devait logiquement permettre de rejoindre les berges et les sentiers de promenade urbains, conduisant jusqu’à la gare. Autrefois lieu de promenade de l’asile impérial, le déploiement d’une serpentine permet de recomposer le cheminement entre la Seine et la ville.
Ouverte à tous, la serpentine constitue la colonne névralgique du parc Princesse. Les habitants l’ont en effet imaginée comme une voie d’accès. En tant que tracé structurant des mobilités piétonnes, sur le modèle d’une coulée verte, son cheminement distribue les divers espaces et équipements du site. Scindée en séquences, cheminant par le bois, le lac et les habitations nouvelles, elle relie le quartier Princesse au nord avec le quartier Croissy à l’est.
De plus, l’ensemble des tracés du projet répond aux axes urbains et aux coulées vertes publiques qui le bordent.
« Le service urbanisme a été impliqué depuis le tout début du projet, représenté en la personne d’Edith Foucher, la directrice du service qui l’a suivi tout au long jusqu’à son terme.
Cela a impliqué des échanges avec toutes les parties prenantes et notamment l’organisation de consultations avec le groupement, des dialogues avec les habitants sous diverses formes, ainsi que le choix de l’aménageur et de ses prestataires.
La Ville a ainsi été impliquée sur l’ensemble de ces sujets, avec la pleine conscience de sa responsabilité quant au résultat final, même si de nombreuses opérations ont été sous-traitées. »
Anne Vicq-Appas, Adjointe à l’urbanisme, ville du Vésinet
Architecture et continuité
Construire au Vésinet Vésinet nécessitait une analyse de son riche patrimoine architectural, façonné tout au long des XIXe au XXe siècles. La diversité des techniques, des matériaux et des styles témoigne d’une recherche qualitative à laquelle le projet du parc Princesse souhaite se faire l’écho en respectant cet héritage architectural remarquable. Le travail sur l’écriture architecturale des différents édifices, bien que non uniformes, emprunte à la simplicité des modénatures, des formes et des matériaux. Il dialogue aussi à la typomorphologie du secteur urbain, dans les environs de la résidence des Coteaux, les bâtiments sont plus élevés pour s’aligner sur les hauteurs existantes. En revanche, des espaces entre les immeubles ont été préservés pour maintenir les vues depuis la résidence voisine.
La nécessité de préserver les écosystèmes et la biodiversité sur le site du parc Princesse a aussi été primordiale, en vue de protéger et d’enrichir la faune et la flore qui y résident. Le Grand Capricorne, coléoptère emblématique, bénéficie d’une protection légale au niveau national depuis 2013, étant inscrit à l’annexe IV de la Directive Habitats-Faune-Flore. Quant aux chiroptères, ces mammifères volants, ils sont répertoriés sur les listes rouges des mammifères continentaux de France métropolitaine.
Extraits d’entrevues
Christine GEROME , Chef de projets, Grand Paris Aménagement
« En 2014, nous avons lancé les consultations pour sélectionner les prestataires qui nous accompagneraient tout au long des études de conception et nous avons retenu, d’un commun accord avec la ville du Vésinet, l’équipe de maîtrise d’œuvre urbaine et ainsi choisi le groupement formé par l’Agence TER, paysagiste et urbaniste mandataire du groupement, le bureau d’études VRD Soderef, Vizea bureau d’études en charge des enjeux de développement durable, et Gautier Bicheron, architecte du patrimoine. En 2015, alors que l’Agence TER esquissait les premières intentions d’aménagement, nous avons mis en place un processus de concertation qui permettait de répondre au souhait des élus d’impliquer les habitants dans le projet. Cette initiative découlait de la conscience collective de l’enjeu que signifiait façonner la dernière pièce urbaine du Vésinet, ville patrimoniale tant en termes d’architecture que de paysage. »
Adrien LEDUC, Architecte urbaniste-paysagiste, Agence TER
« Lorsque GPA a fondé le groupement, nous avons mis en avant le fait que nous avions deux agences : l’Agence TER Urbanisme et paysage, et Agence TER Architecture. Aussi, nous avions plusieurs compétences au sein d’une même équipe et nous avons pu croiser les regards et mettre en avant nos capacités à développer l’architecture dans le paysage et le paysage comme environnement pour l’architecture. Nous nous sommes également entourés d’un bureau d’études, d’un architecte des bâtiments de France qui puisse nous donner son expertise vis-à-vis du patrimoine historique, ainsi que d’un bureau d’études environnementales, celui qui avait déjà établi une première charte du projet en partenariat avec GPA. »
« En ce qui concerne l’architecture, notre objectif était d’insuffler de véritables réflexions qui découlent des contraintes telles que celle de la préservation des arbres. Ce qui était crucial pour nous était d’établir un principe d’architecture où l’art de bâtir revêtait une véritable importance. L’intégration d’un volet paysager et d’un volet architectural constitue véritablement la marque de fabrique de notre agence. C’est un aspect crucial dans le processus de conception, car cela nous permet d’avoir un discours persuasif à propos de l’impact des éléments paysagers sur les projets architecturaux ».
Nolan BOUVIER, Chef de projets, Agence TER
« Notre approche de plantation a privilégié une stratégie écologique. La sélection végétale, tant pour l’espace public que pour l’espace privé, visait à maintenir un taux élevé de chênes. Le site présentait environ 50% de chênes et 50% d’érables, comme la survie du grand Capricorne, prédominant sur le site, est étroitement liée aux chênes, nous avons privilégié leur préservation. Mais nous avons rencontré plusieurs difficultés durant le projet et notamment une attaque du scolyte sur les chênes, entraînant une perte significative de la population, tant parmi ceux que nous avions plantés que parmi les arbres déjà présents avant le projet. Suite aux tempêtes de 2021, plusieurs arbres ont été déracinés, nécessitant une nouvelle phase de plantation. En tout, nous avons planté près de 800 arbres dont la moitié sont des chênes et l’autre des espèces forestières d’Île-de-France. »
Nicolas PRETTRE, Dirigeant, Prettre Espaces verts
« Cette expérience d’aménagement réalisée avec GPA et l’Agence TER au sein d’un site historique boisé a été marquée par plusieurs éléments significatifs. Tout d’abord, il s’agissait d’un chantier particulièrement unique en raison de son ampleur et de sa complexité. La gestion de ce projet a été difficile en raison des retards rencontrés dans la construction de certains logements et la réalisation des infrastructures liées à la rivière et au lac. Nous avons dû faire preuve de patience pour achever nos travaux, en particulier en raison des perturbations causées par la pandémie de COVID-19 en 2020, ainsi que par les tensions géopolitiques, notamment la guerre en Ukraine à partir de 2022, avec ses conséquences sur les prix et les pénuries.
Nous avons dû composer avec des contraintes règlementaires et techniques strictes, notamment en ce qui concerne la protection de l’environnement, comme la préservation des eaux souterraines et de la biodiversité. Ces exigences nous ont permis d’approfondir notre compréhension des enjeux environnementaux et de développer des solutions innovantes pour les intégrer dans notre travail d’aménagement, tout en faisant face à un nouveau défi de taille : l’impact du réchauffement climatique à court, moyen et long terme sur nos travaux (résistance des végétaux à la chaleur et à la sècheresse, accroissement de la population d’insectes nuisible au végétal et d’agents pathogènes cryptogamiques, etc.) ».
Kévin SOUET, Directeur de Programmes, Cogedim
L’Accord Parfait
Un îlot partagé avec l’agence De Cussac Architectes, CoBe
« Notre opération se compose de quatre bâtiments distincts, dessinés par deux architectes : l’agence Cussac Architectes et l’agence CoBe.
Les deux architectes ont travaillé ensemble afin d’avoir une uniformité de matériaux, tout en conservant chacun leur liberté quant aux volumétries des bâtis.
Un seul paysagiste (CoBe) en revanche a harmonisé les espaces verts et la disposition du plan de masse en fonction des arbres existants et de l’espace boisé protégé présent sur notre parcelle. Le respect de la biodiversité locale était une donnée d’entrée, tant pour Cogedim que pour l’aménageur. Nous avons souhaité que les bâtiments et la nature soient en parfaite harmonie.
Les dispositions du plan de masse tiennent compte des contraintes naturelles existantes, mais aussi des aménagements projetés, tant intérieurs qu’extérieurs au lot. Les bâtiments respectent l’espace boisé protégé en fond de parcelles, et sont naturellement tournés vers le lac aménagé par Grand Paris Aménagement.
Chaque appartement possède des espaces extérieurs, et notamment des jardins pour les logements du rez-de-chaussée. L’aménageur a voulu des jardins privatifs ouverts sur les espaces communs, non clôturés, afin de favoriser le dialogue entre les espaces verts du cœur d’îlot paysager et les espaces privatifs. De même, la copropriété est délimitée par une simple clôture basse afin de ne pas créer de barrière physique entre le parc et le jardin commun de notre lot.
Notre cœur d’îlot s’articule autour de plusieurs strates végétales (basses, moyennes et haute) et de prairies plantées. Des bancs en bois sont au cœur de l’îlot paysager central afin de favoriser la rencontre et la contemplation de la nature. Un local vélo commun se trouve également en cœur d’îlot, construit en bois, afin d’assurer sa parfaite intégration au milieu naturel.
Les matériaux ont été choisis avec soins par nos architectes afin de répondre à deux contraintes : l’insertion de l’opération avec son environnement naturellement boisé et le standing souhaité de la résidence.
Nous y retrouvons du bois en grande quantité, bardage bois, claire-voie, mais aussi de la plaquette de parement. L’union de ces matériaux permet de créer une harmonie chaleureuse, claire et épurée, répondant aux enjeux de confort d’été et d’élégance architecturale. »
Ouissam MOKADDEM, Directrice Résidentiel Île-de-France, Sogeprom
« L’ensemble immobilier de 60 logements répartis sur quatre bâtiments constitue une véritable traduction de la cité-jardin du XIXe siècle. L’objectif central de « Diptyque » résidait dans l’instauration d’un équilibre entre l’espace intérieur et l’environnement extérieur afin d’établir un dialogue entre la nature et les logements. Cette ambition se manifeste à travers une conception architecturale dont les volumes et les façades sont en osmose avec le paysage du parc Princesse.
Pour cela, les quatre édifices ont été dessinés avec des lignes courbes et fluides inspirées de la nature environnante, qui se reflète dans les garde-corps. Le choix d’un bois de haute qualité, issu de filières françaises labellisées, pour les menuiseries en bois, le platelage des espaces extérieurs et les sous-faces des balcons, entre en adéquation avec le concept global du projet.
Dans le respect de ce dialogue, les bâtiments se déploient sur deux à trois étages seulement, afin de ne pas dépasser la hauteur imposée par les arbres existants. Depuis chaque logement, les habitants bénéficient d’une vue dégagée sur le parc Princesse et ses alentours, grâce aux multiples balcons et terrasses individuels. La résidence « Diptyque » est également connectée à la ville et à toutes ses commodités.
L’audace architecturale se manifeste à travers le dessin de deux familles distinctes de bâtiments, dialoguant par leurs formes et leurs teintes qui convoquent les matériaux « Quartz » et « Ébène », « Opale » et « Ivoire », et procurent l’impression d’une homogénéité d’ensemble. Les pergolas aux derniers étages, les escaliers monumentaux extérieurs et les parcs à vélos transparents en rez-de-chaussée ajoutent une identité architecturale supplémentaire à cette cohérence visuelle.
Les volumes intérieurs se composent d’espaces simples à aménager, favorisant ainsi un habitat fonctionnel. Le projet ne comporte que des logements familiaux, du T2 au T6, offrant une habitabilité et une fonctionnalité adaptées pour tous. Un décorateur d’intérieur a accompagné tous les clients volontaires, afin de proposer une personnalisation accompagnée et améliorée de chacun des logements. Ainsi, chaque résident peut s’approprier son logement et y intégrer les fonctionnalités qui lui correspondent. La connectivité des appartements, gérée à distance, facilite également le quotidien des occupants.
Afin de répondre aux exigences du projet d’ensemble de la ZAC du parc Princesse piloté par Grand Paris Aménagement, tous les lots présentent une densité bâtie faible, agrémentés de projets paysagers riches et soignés, favorisant une respiration visuelle, spatiale et végétale. Les zones de respiration sont aussi exploitées avec du mobilier urbain, pour créer des espaces d’échanges et de convivialité entre les habitants. »
Texte : Cléa Calderoni
Visuel à la une : 56 logements, 5 bâtiments, SOA Architectes © Agence TER
— Retrouvez l’article dans archistorm 127 daté juillet – août 2024